Agence immobilière KW CÉZANNE à AIX-EN-PROVENCE

La Provence demeure une région particulièrement prisée sur le marché immobilier français. Que vous soyez investisseur, futur propriétaire ou simplement curieux des évolutions, voici un aperçu des grandes tendances à retenir cette année.1. Une Demande Toujours Forte pour les Grandes VillesLes villes comme Aix-en-Provence, Marseille et Avignon continuent d’attirer de nombreux acheteurs, grâce à leur dynamisme économique et leur qualité de vie. Les logements situés dans les centres-villes, proches des commodités et des transports, restent les plus recherchés.Cependant, l’augmentation des prix au mètre carré dans ces zones tendues oblige certains acquéreurs à se tourner vers des communes périphériques.👉 Chiffres clés :Aix-en-Provence : environ 5 500 €/m² pour un appartement ancien.Marseille : une moyenne de 3 800 €/m², avec des écarts importants entre quartiers.2. Une Évolution Modérée des Prix en 2025Après plusieurs années de forte hausse, le marché immobilier en Provence montre des signes de stabilisation. Les experts anticipent une progression plus modérée des prix, en partie due à la hausse des taux d'intérêt et à une demande légèrement ralentie par l’inflation.Les biens haut de gamme et les propriétés avec vue mer ou situées à proximité des plages continuent cependant d’afficher des prix élevés, soutenus par une clientèle nationale et internationale.👉 Tendance à suivre : Les maisons avec piscine, toujours en forte demande après la pandémie.3. Les Zones Rurales Gagnent en AttractivitéLa recherche de calme et d’espace, amorcée lors des confinements, reste d’actualité. Les villages provençaux comme Lourmarin, Gordes ou Saint-Rémy-de-Provence séduisent ceux qui souhaitent s’éloigner de l’agitation urbaine tout en profitant du charme de la région.Les prix dans ces zones sont généralement plus accessibles qu’en ville, mais ils augmentent à mesure que la demande se renforce.4. Un Enjeu Crucial : La Performance ÉnergétiqueAvec les nouvelles réglementations liées à la rénovation énergétique, les propriétaires doivent prendre en compte les performances énergétiques des biens qu’ils souhaitent vendre ou acheter.Les logements classés F ou G au DPE (Diagnostic de Performance Énergétique) risquent d’être moins attractifs, voire interdits à la location dans certains cas. Ce critère devient déterminant dans les transactions immobilières.5. Un Marché Porté par le TourismeLe tourisme reste un moteur économique majeur en Provence. Cette attractivité se reflète aussi dans le marché locatif saisonnier. Les investisseurs misent sur des biens adaptés à la location courte durée, notamment dans des destinations populaires comme Cassis, La Ciotat ou les Baux-de-Provence.Avec une gestion bien optimisée, ces investissements peuvent offrir une excellente rentabilité.Ce Qu’il Faut RetenirLe marché immobilier en Provence reste dynamique et diversifié, mais il est marqué par des évolutions importantes en 2025. Qu’il s’agisse de la montée en puissance des zones rurales, de l’impact des réglementations énergétiques ou des opportunités dans le secteur locatif, il y a des perspectives intéressantes pour tous les profils d’acheteurs.Pour des conseils sur mesure et un accompagnement dans vos projets immobiliers, n’hésitez pas à faire appel aux experts de Keller Williams Cézanne.

La fiscalité immobilière évolue chaque année, et 2025 ne fait pas exception. Voici un point sur les principaux changements et aspects à connaître pour bien gérer vos projets immobiliers, accompagné des principales sources d’information fiables.1. Taxe Foncière : Une Augmentation GénéraliséeEn 2025, la taxe foncière poursuit sa hausse, notamment en raison de la revalorisation des valeurs locatives cadastrales. Les augmentations pourraient atteindre 7 à 10 % dans certaines communes, selon les données de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP). Cette tendance résulte principalement de l'inflation et des ajustements budgétaires des collectivités locales.2. Dispositif Pinel : Dernière Année Avant la RéformeLe dispositif Pinel, qui permet de bénéficier de réductions d’impôts en investissant dans des logements neufs destinés à la location, est en place jusqu'à fin 2024 dans sa version actuelle. En 2025, il évolue vers le "Pinel Plus", avec des critères énergétiques renforcés pour les logements. C’est donc la dernière chance pour profiter des conditions actuelles avant ces changements.3. Réduction des Aides à la PropriétéLe prêt à taux zéro (PTZ), destiné aux primo-accédants, voit ses conditions d’accès modifiées en 2025. Désormais, il est réservé aux zones tendues (A et B1) et aux projets de construction ou d’acquisition dans le neuf. Il reste un outil essentiel pour favoriser l’accès à la propriété, bien qu’il soit progressivement limité.4. Focus sur la Rénovation ÉnergétiqueAvec les objectifs ambitieux de réduction des passoires thermiques, les aides à la rénovation, comme MaPrimeRénov’, restent accessibles en 2025. Toutefois, les critères d’éligibilité sont durcis, et les propriétaires bailleurs doivent impérativement rénover les logements classés F et G avant la mise en location. Un bien non conforme pourra être interdit à la location dans certaines situations.5. Succession et Donation : Des Modifications à NoterDes ajustements sont prévus en 2025 sur les abattements applicables aux donations et successions, notamment sur les biens immobiliers. Cela vise à favoriser une transmission progressive du patrimoine tout en limitant les avantages fiscaux trop importants.Conclusion2025 s’annonce comme une année charnière pour la fiscalité immobilière, avec de nombreuses évolutions à intégrer dans vos projets. Hausse des taxes, fin d’avantages fiscaux actuels, et renforcement des normes énergétiques : il est essentiel de rester informé et bien accompagné.Pour des conseils personnalisés et un suivi adapté à vos projets immobiliers, n’hésitez pas à nous contacter chez Keller Williams Cézanne.

1/ Le climat politique n’a pas dégradé la situationC’était une crainte de nombreux observateurs : que l’instabilité politique dans laquelle la France a plongé cet été ne vienne porter un coup de grâce à l’immobilier. Heureusement, cette hypothèse ne s’est pas vérifiée.En revanche, le niveau de la dette française reste à moyen terme un enjeu pour les particuliers. Interrogé par les Échos cette semaine, Pierre de Buhren, le directeur général du Groupe Empruntis, a rappelé que « les Français ne pourront durablement s'endetter moins cher que l'État français ».2/ Les taux sont orientés à la baisseSans crédit immobilier, le marché perd ses forces vives : les emprunteurs. Or, lorsque les taux augmentent, le coût du prêt devient plus important, ce qui vient réduire la capacité d’achat des ménages, voire en exclure certains de l’accès au financement.La bonne nouvelle, c’est que depuis septembre, ce point de blocage semble se dissiper. Aujourd’hui, notre baromètre affiche un taux moyen de 3,45 % sur 20 ans et de 3,50 % sur 25 ans. Il y a douze mois, ces mêmes indicateurs étaient respectivement de 4,20 % et de 4,35 %.3/ Les banques sont volontaristesAutre point encourageant en matière d’accès au crédit : les établissements sont enclins à accompagner un maximum de projets. Toujours dans les colonnes des Échos, Nassima Khiari, responsable des relations bancaires du Groupe Empruntis, décrit des banques aujourd'hui « particulièrement réceptives aux demandes de prêts, multipliant les offres attractives pour capter de nouveaux clients ».4/ La baisse des prix ralentitMême si des prix plus bas ont un impact positif sur les capacités d’achat, une tendance fortement baissière se transforme vite en repoussoir pour les potentiels acquéreurs. Ces derniers peuvent dès lors redouter une diminution rapide de la valeur du bien, ce qui participe à freiner le nombre de transactions.Les derniers chiffres du baromètre LPI - iad ont montré que, de ce point de vue, les choses semblaient aussi rentrer dans l’ordre. À l’échelle nationale, la baisse des prix dans l’ancien a été divisée par trois depuis le printemps. En glissement annuel, celle-ci est passée de - 4,5 % en mai à - 1,6 % en novembre.5/ L’inflation se stabiliseDans ses derniers chiffres, l’Insee indique que l’évolution annuelle de l’indice des prix à la consommation était de 1,3 % en décembre. Celle-ci atteignait 3,7 % il y a deux ans. Autrement dit : le pic inflationniste semble bel et bien derrière nous.Une inflation plus faible est un élément indirectement positif pour les emprunteurs. Elle influence le niveau des taux directeurs de la Banque centrale européenne, qui eux-mêmes viennent ensuite déterminer le coût de l’argent pour les banques. En bout de chaîne, ce sont les taux d’intérêt pour les prêts distribués aux particuliers qui peuvent s’en trouver améliorés.